Cette entreprise bretonne qui se lance dans la seconde main

armor lux seconde main
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Le 19 juin 2025, la maison quimpéroise a levé le voile sur Armor-Lux Seconde Main, un site de revente opéré en marque blanche par la start-up Faume  . Derrière cette annonce : la volonté de reprendre la main sur la seconde vie de ses pièces, de parler à une génération qui a fait de Vinted son réflexe… et de verdir encore un peu plus un ADN déjà réputé durable. Sous le capot, le partenariat coche pas mal de cases : technologie SaaS, logistique intégrée, contrôle qualité – le tout aux couleurs bleu-marine de la marque. Bref, impossible de confondre votre marinière d’occasion avec une annonce lambda.

 

Une marinière qui vit (vraiment) plusieurs vies

  • Un prolongement naturel de son engagement RSE : la maison affiche depuis plus de vingt ans les normes ISO 26000, 9001 et 14001 et a déjà revalorisé 210 tonnes de textiles depuis 2015.

  • Le boom du marché : selon une étude KPMG pour la Fédération de la mode circulaire, la seconde main textile atteindra 26 milliards d’euros en Europe d’ici 2030, avec 8,5 % de croissance annuelle.

  • Reprendre contrôle, marge et données : plutôt que de laisser la marinière filer sur des marketplaces C2C, Armor-Lux fixe ses prix de reprise et récupère l’info client.

 

Thomas Gueguen, directeur général, résume : « Industrialiser la revente, c’est rester fidèle à la qualité qui fait notre succès, tout en parlant à la nouvelle génération ».


 

Comment fonctionne la plateforme ?

  1. Je vends : estimation en ligne, étiquette prépayée, envoi gratuit.

  2. Faume s’occupe du reste : authentification, nettoyage et remise en état.

  3. Je reçois : un bon d’achat valable sur armorlux.com ou sur la boutique Seconde Main.

  4. Je (re)achète : articles contrôlés, paiement sécurisé, retour possible sous 14 jours et livraison offerte dès 150 €.

 

Une expérience premium, pensée pour concurrencer les géants du C2C sans sacrifier la relation directe marque-client.

 


Un mouvement de fond chez les marques françaises

Armor-Lux n’est pas la première à internaliser la revente :

En clair, les marques veulent les mêmes armes que les marketplaces : data, pricing dynamique, storytelling.


 

Les bénéfices attendus pour Armor-Lux (et ses clients)

  • Fidélisation circulaire : le bon d’achat incite à rester dans l’écosystème et finance, pourquoi pas, une nouvelle marinière.

  • Image modernisée : la seconde main parle aux 18-35 ans sans fâcher la clientèle historique.

  • Impact environnemental mesurable : chaque pièce remise en circulation évite la production neuve – et donc des kilos de CO₂.

  • Visibilité sur la durée de vie réelle des produits : un trésor d’informations pour optimiser la qualité et la conception.


 

A vous de jouer !

Avec cette plateforme, Armor-Lux prouve qu’on peut conjuguer tradition bretonne et innovation circulaire. Vous avez une marinière qui dort au fond d’un tiroir ? Offrez-lui une nouvelle traversée et profitez du bon d’achat pour (re)découvrir la collection.

Envie de creuser le sujet ? Parcourez notre analyse sur Ba&sh et le million d’euros de GMV, revenez sur la levée de fonds de Faume et explorez la plateforme de seconde main Jules : trois cas d’école pour comprendre comment le marché s’industrialise… et pourquoi il est temps d’embarquer.

À vous la barre ! Testez Armor-Lux Seconde Main, partagez vos retours et, surtout, suivez nous : Seconde Media déniche chaque semaine les tendances qui font tourner la mode circulaire.

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