Comment transmettre aux plus jeunes le goût de réparer, réutiliser et consommer autrement ? C’est le pari audacieux que relève Back Market avec son livre pour enfants “On répare et ça repart !”, créé en collaboration avec l’autrice-illustratrice Camille Piantanida. L’entreprise française, déjà pionnière du reconditionné, franchit une nouvelle étape : celle de l’éducation à l’économie circulaire pour enfants.
Cette initiative s’inscrit dans un mouvement de fond : celui d’une génération de parents, comme Claire, citadine engagée, désireuse de transmettre à ses enfants les bons réflexes face aux enjeux environnementaux. Car apprendre à réparer, c’est déjà apprendre à préserver.
Une actualité inédite : Back Market publie son premier livre jeunesse sur l’économie circulaire
Après l’annonce de l’ouverture de ses 500 boutiques, Back Market veut donner vie à un message fort avec “On répare et ça repart !”: les objets méritent une seconde chance.
Destiné aux 5-10 ans, ce livre illustré raconte l’histoire de petits héros du quotidien qui redonnent vie à leurs appareils usés, au lieu de les jeter. Le ton est ludique, poétique, accessible. Les personnages apprennent que réparer n’est pas une contrainte, mais une aventure créative et joyeuse.
Cette initiative s’inscrit dans la continuité de l’engagement de Back Market pour démocratiser la culture du reconditionné. Après avoir convaincu des millions de consommateurs d’acheter des produits remis à neuf, l’entreprise cherche aujourd’hui à sensibiliser la prochaine génération.
“L’idée n’est pas seulement de vendre, mais de transformer les habitudes de consommation sur le long terme”, souligne l’équipe du projet.
Le livre, imaginé par Back Market, écrit et illustré par Camille Piantanida, est disponible en exclusivité chez Librairie Mollat à Bordeaux.
Objectif : faire de la réparation une valeur culturelle partagée dès l’enfance.
Une initiative stratégique pour le secteur de l’économie circulaire
Ce projet va bien au-delà du storytelling. Il s’agit d’une démarche stratégique qui repositionne Back Market comme acteur éducatif de l’économie circulaire.
En misant sur l’éducation, la marque ouvre un nouveau front : celui de la sensibilisation par la culture. Un choix cohérent à l’heure où la circularité ne se limite plus à recycler ou reconditionner, mais à repenser les comportements de consommation.
L’économie circulaire pour enfants, c’est une porte d’entrée vers une compréhension plus globale :
Pourquoi prolonger la durée de vie des objets ?
Comment fonctionne la réparation ?
Que deviennent nos appareils lorsqu’ils sont jetés ?
Ces questions simples plantent les graines d’une conscience écologique durable. En ce sens, Back Market contribue à former les consommateurs responsables de demain.
Mais cette démarche est aussi un signal pour l’ensemble du secteur : pour exister, la seconde main doit inspirer, éduquer, fédérer. Ce type d’initiative crée une passerelle entre acteurs économiques et citoyens, entre technologie et pédagogie.
Une dynamique déjà présente dans d’autres secteurs ?
La sensibilisation dès le plus jeune âge
D’autres marques et acteurs de la seconde main s’intéressent, eux aussi, à la transmission des valeurs circulaires dès le plus jeune âge.
Ainsi, des initiatives similaires ont émergé autour du jouet d’occasion ou de la mode responsable, prouvant que le changement passe aussi par l’éducation.
→ À lire sur Seconde Media : “Jouet d’occasion : les grandes marques s’engagent” — comment le secteur du jouet amorce une révolution durable.
L’éducation des enfants, dans ce contexte, devient un levier d’accélération : familiariser les jeunes publics à la réparation, c’est normaliser la circularité dès la base. Et c’est précisément là que Back Market se distingue, en ancrant sa communication dans une mission d’intérêt collectif.
Un impact culturel et économique
À moyen terme, ce type de projet pourrait influencer la perception du reconditionné dans la société.
Si la génération actuelle d’adultes voit encore parfois la seconde main comme une alternative économique, les enfants élevés dans ce nouvel imaginaire la considéreront comme la norme.
C’est toute la force de l’approche éducative : faire évoluer les comportements par la culture.
En parallèle, le livre contribue à renforcer la légitimité de Back Market face aux critiques de greenwashing. En s’appuyant sur un contenu éducatif, illustré et validé par une autrice reconnue pour ses ouvrages jeunesse, la marque crédibilise son discours et ancre son engagement dans la durée.
Cette alliance entre communication responsable et pédagogie pourrait inspirer d’autres acteurs du secteur — start-up, associations, enseignes — à suivre le mouvement. En diffusant la connaissance plutôt que la seule publicité, Back Market élève le niveau du débat public autour de la durabilité.
Transmettre la circularité, un geste durable
Avec “On répare et ça repart !”, Back Market démontre que la réparation peut devenir une histoire à raconter, un imaginaire positif à partager avec les enfants.
Ce livre est bien plus qu’un support marketing : c’est une passerelle entre générations, entre valeurs et pratiques.
Si l’économie circulaire veut devenir la norme, elle doit s’apprendre, se lire, se vivre dès le plus jeune âge.
Et c’est précisément ce que permet cette initiative : rendre la durabilité accessible, joyeuse et inspirante.
👉 Découvrez le livre sur Back Market et explorez sur Seconde Media les autres projets qui façonnent la culture circulaire de demain.