Chercher une pièce auto d’occasion compatible, fiable et au bon prix, c’est souvent mission longue. Entre références obscures et réponses éparses, on perd du temps… et parfois de l’argent. Merci Paulo simplifie cette étape : la jeune plateforme s’appuie sur un algorithme de recherche et sur une équipe d’experts pour identifier la bonne pièce auto d’occasion et proposer un devis rapidement. Une approche hybride, tech + humain, qui fluidifie la réparation et démocratise la seconde main automobile.
Merci Paulo, c’est quoi concrètement ?
Le service fonctionne simplement. L’automobiliste formule sa demande (pièce + véhicule). L’équipe confirme la prise en charge sous 24 h, précise la recherche si besoin, puis trouve une pièce compatible via un algorithme de recherche et un réseau de fournisseurs. Le client reçoit une proposition détaillée, effectue un paiement sécurisé (via Stripe) et la pièce est expédiée, avec suivi. Retours sous 14 jours et garanties fournisseurs selon le type de pièce. Certaines pièces sont testées et parfois garanties jusqu’à 2 ans.
À noter : l’accès à la plateforme est gratuit ; des frais de service s’appliquent uniquement en cas d’acceptation de la proposition.
Pourquoi maintenant ? Un marché mûr pour l’IA
Le contexte est favorable : les pièces d’occasion restent en moyenne 30 % moins chères que le neuf, un argument clé dans une période de tension budgétaire. La réglementation pousse également au réemploi dans l’aftermarket. Autant de facteurs qui rendent l’outil « recherche + validation humaine » particulièrement pertinent.
Côté positionnement, la presse régionale a résumé l’ambition : devenir le « Vinted » de la pièce auto. Une formule qui dit bien l’objectif : un parcours simple, transparent et accessible au plus grand nombre.
En quoi l’IA change la donne pour les pièces auto d’occasion ?
Merci Paulo parle d’algorithme de recherche plutôt que d’IA générative. L’idée : automatiser l’identification de la bonne référence, accélérer le tri dans des millions de références, et réduire le risque d’erreur sur la compatibilité. Le tout est relu et validé par des humains avant l’envoi de la proposition, pour garder un haut niveau de confiance.
Des médias spécialisés décrivent aussi un fonctionnement de conciergerie : on renseigne l’immatriculation, on laisse ses coordonnées, et les équipes vont chercher et vérifier la compatibilité avant devis. C’est simple, et c’est rassurant pour qui n’a pas le temps de comparer les références.
Merci Paulo en résumé
Création et ancrage : la société émerge en 2024, installée à Pantin, et se positionne sur le réemploi automobile avec une petite équipe dédiée.
Visibilité croissante : le concept a été présenté sur BFM Business – Le Pitch (mars 2025), où le cofondateur Nicolas Ziegler a détaillé la promesse : des pièces d’occasion compatibles, au meilleur prix, via un parcours clair.
Promesse de service : prise de brief sous 24 h, proposition rapide (généralement 24–48 h selon la complexité), paiement sécurisé, expédition suivie, garantie selon vendeurs et retour 14 jours. Ces éléments structurent la proposition de valeur : gain de temps, réduction des coûts, moins d’incertitude.
Analyse : un modèle « humain augmenté » qui rassure
Ce qui fait la différence n’est pas seulement la techno. C’est l’enchaînement algorithme → expertise → transparence. L’automobiliste sait ce qui est proposé, pourquoi, à quel prix, avec quelle garantie.
C’est exactement le type d’expérience qui a permis à d’autres verticales de la seconde main de franchir un cap :
Mobilier & électroménager : la fluidité logistique joue un rôle décisif. À ce titre, notre retour d’expérience sur Youzd montre comment un service bien huilé lève les freins à l’achat d’occasion à domicile ; les enseignements sont transposables à l’auto : rassurer, simplifier, livrer. 👉 Retour d’expérience Youzd
Marques grand public : IKEA a réussi à transformer un détail de produit en histoire de durabilité avec Hidden Tags. C’est une leçon de confiance et de traçabilité dont le secteur auto peut s’inspirer. 👉 IKEA – Hidden Tags, storytelling du réemploi
Mass market : notre dossier “Jouet d’occasion” illustre comment une catégorie entière peut basculer vers la seconde main quand prix, qualité et parcours s’alignent. 👉 Jouet d’occasion : conseils et circuits
Dans l’auto, l’incertitude de compatibilité a longtemps freiné l’essor de la seconde main. Merci Paulo réduit ce point de friction : l’algorithme filtre, l’équipe confirme. Résultat : moins de doutes, moins d’allers-retours et un coût global de réparation qui peut baisser sensiblement (rappel : ~30 % en moyenne vs. neuf, selon La Tribune).
Ce qu’il faut surveiller dans les prochains mois
Qualité & garanties : des garanties fournisseurs existent, parfois jusqu’à 2 ans selon la pièce et le vendeur ; l’harmonisation de ces garanties sera un marqueur de confiance long terme.
Vitesse de traitement : le 24–48 h pour une proposition est un bon standard. Tenir ce délai à mesure que la demande augmente sera l’enjeu opérationnel.
Écosystème : la startup pourrait renforcer partenariats (casses, assureurs, garages) pour élargir l’offre et accélérer la circularité dans l’aftermarket. Indice : présence croissante dans les médias et annuaires de l’économie circulaire.
Envie de réparer moins cher et mieux ? Testez le service, comparez les propositions, regardez les conditions de garantie et les délais. Plus nous favorisons des pièces auto d’occasion bien sourcées, plus nous réduisons la facture… et l’empreinte de nos réparations.
Et pour garder un coup d’avance sur la seconde main, explorez aussi nos analyses : Youzd, la seconde main livrée simplement, IKEA – Hidden Tags, Jouet d’occasion : le guide.